A la découverte d’un thème : l’émerveillement

- Qu’est-ce que l’émerveillement ?
Article 3
Alors, partons de :
« Que d’hommes valables et valides rendus invalides par méchanceté ! Que de talents détruits et enterrés !» Rodrigue GBEDJINOU, Enfants du bénin debout ! Hymne national commenté, 2020, Les Editions IdS, p41
Et comprendre :
Le tché djin nan bi, pousse au nivellement par le bas. Chacun doit travailler à découvrir son talent, pour le mettre au service de tous et non faire disparaître celui de l’autre.L’émerveillement, c’est aussi savoir s’indigner face aux mauvais comportements.
Pour retenir :
« L’amour incommensurable de Dieu nous a tous comblés. Alors, je peux autant que mon prochain.» «La Petite Voie » de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus vous remercie de la visite de son site et de vos commentaires. Votre bonheur nous encourage à continuer de vous servir.
Rejoignez le Mouvement pour qu’ensemble nous soyons Amour dans la Cité.
Bravooo
Que Dieu continue de parler à nos coeurs
L’amour du prochain, c’est important pour tout être humain. Et sur ce, il ne faut pas abaisser son prochain pour son propre profit mais plutôt se soutenir les uns les autres. Merci pour cette belle réflexion
Très pertinente réflexion sur une de nos réalités sociologique qui freine énormément notre développement personnel et notre bien être social
Que Dieu touche les cœurs afin que nous nous réjouissons du bonheur de l’autre et que nous puissions nous entraîner afin de nous ele élever tous
Merci pour cette belle méditation qui invite à un émerveillement lucide et libérateur.
Les mots du P. Rodrigue GBEDJINOU résonnent comme un cri du cœur contre la banalisation des talents et la méchanceté ordinaire qui ronge nos sociétés : « Que d’hommes valables et valides rendus invalides par méchanceté ! »
Mais loin de nous enfermer dans la plainte, ce message nous pousse à choisir la voie de la lumière, celle qui encourage, élève et révèle.
Le « tché djin nan bi » dénoncé ici est une forme de médiocrité intériorisée, une peur de briller ou de laisser les autres briller. Or, Dieu nous a tous comblés différemment, et c’est en reconnaissant et en valorisant ces dons que nous devenons pleinement frères.
« Je peux autant que mon prochain. » Voilà une parole d’espérance, humble et audacieuse, qui détruit l’envie et fait place à la solidarité dans l’émerveillement.
Merci à la sœur Hermance AHOUANSOU et à toute l’équipe de La Petite Voie pour cette publication qui nourrit l’âme et éveille les consciences.
Continuez à nous inspirer. Nous avons besoin de ce genre de voix dans l’Église et dans la société.
« Chacun doit travailler à découvrir son talent, pour le mettre au service de tous et non faire disparaître celui de l’autre.»
Je suis d’accord mais le problème avec notre monde actuel c’est que plusieurs personnes après avoir mis leur talent au service de leur prochain de manière honnête, sincère, et authentique se retrouvent en fin de compte trahi, déçu et blessé. Donc parfois c’est difficile de refaire le processus encore pour se retrouver à nouveau trahi une nouvelle fois. C’est très compliqué.
Mais bon le plus important c’est de demander à Dieu et à son fils Jésus-Christ la claire vision de ce que nous devons faire et la force de l’accomplir.